Du XIII° au XVII° siècle, les Ponts Couverts assurent la défense de la cité à son extrémité sud-ouest. Ils participaient de l’enceinte épiscopale. Trois des quatre tours en brique subsistent aujourd’hui : la Heinrichturm, la Hans von Altheimturm et la tour des Français. Les éléments en éperon, munis d’ouvertures pour l’artillerie qui les précèdent, sont créées par Daniel Specklin au XVI° siècle. Les ponts-galeries étaient protégés par un toit de tuiles, d’où leur dénomination, et clos par une paroi en bois percée d’archères. Ils sont remplacés en 1784 par des passerelles en bois et en 1865 par les actuels ponts en grès. Vers 1880, et jusqu’en 1950, la deuxième tour est occupées par les Bains Mathis, divisés en deux bassins délimités par des pontons couverts entourés d’une palissade et munis de cabines.
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